Howards End – E.M. Forster (1910)

Howards End – E.M. Forster (1910)

Howards End, c’est la rencontre de trois familles. En Angleterre, au début du 20ème siècle, les Wilcoxes – riches propriétaires –, les Schlegels – famille cultivée d’origine allemande – et les Basts – pauvres et méfiants – se découvrent et notent malgré eux toutes les différences qui séparent des familles avec des moyens financiers et des niveaux de culture différents.

Helen a une histoire avec le jeune Paul Wilcox, qui sera interrompue aussi vite qu’elle a commencé. Mais il est déjà trop tard, sa tante est déjà en route pour défendre son honneur et remettre de l’ordre dans cette affaire bâclée. Une première introduction haut en couleur, début d’une longue relation pleine de rebondissements entre les deux familles.

Je ne vais pas vous mentir, j’ai trouvé le roman très long et monotone. Il y a des passages magnifiques de méditations sur la culture, la vie et la philosophie, mais sinon, j’ai trouvé que c’était un roman très anglais et début du siècle, un style que je n’aime plus tant que cela, bien malheureusement.

À lire pour les fans de Forster, d’Austen et de Brontë, qui cherche à découvrir une belle langue anglaise travaillée et fournie d’un vocabulaire large. Si vous cherchez du rythme et de l’action cela dit, passez votre chemin.

She never saw it again. Day and night the river flows down into England, day after day the sun retreats into the Welsh mountains, and the tower chimes: 'See the Conquering Hero.' But the Wilcoxes have no part in the place, nor in any place. It is not their names that recur in the parish register. It is not their ghosts that sigh among the alders at evening. They have swept into the valley and swept out of it, leaving a little dust and a little money behind.


Penguin English Library
370 pages